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Revue n°108 - NUMÉRO SPÉCIAL - Juin 2013

Le secret et son partage

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  • Les cadres juridiques du partage - Les cadres juridiques du partage

    Divers • 01.07.2013

    Partager le secret, ce n'est ni le violer ni en être officiellement délié. C’est en confier une partie à un tiers dans le seul et unique but de trouver une solution au problème de son bénéficiaire. Deux conditions essentielles s'imposent : sécuriser le secret, et obtenir l'accord du bénéficiaire.

  • Le Secret et son partage - Synthèse et Réflexions

    Divers • 01.07.2013

    Quels enseignements tirer des divers avis recueillis ? Pour y parvenir, regroupons les avis convergents et divergents, les avis dominants, les points de cohérence entre professions, les positions extrêmes, les préconisations… et tentons une synthèse.

  • Le partage aux frontières ou hors du cadre légal

    Divers • 01.07.2013

    Nous nous sommes interrogés sur la place adéquate des témoignages qui suivent : dans le chapitre sur le secret en droit positif, ou celui relatif à la transgression ? Ce dilemme concerne ceux qui abordent le secret sous les deux aspects : légal et transgressif. Pour éviter un « saucissonnage » des points de vue dont nous avons souhaité maintenir...

  • Le secret et son partage en droit positif

    Divers • 01.07.2013

    Le secret est de portée générale. Il est motivé par le besoin de protéger la personne qui se confie à un professionnel. Il est fondé sur l’article 9 (al. 1) du Code civil qui stipule que « Chacun a droit au respect de sa vie privée… » et garanti par l’article 226-13 du Code pénal qui énonce que «...

  • Généralités

    Divers • 01.07.2013

    Afin de mieux appréhender le problème sensible et complexe du secret et de son partage, un bref rappel de généralités nous a semblé nécessaire, à titre liminaire et principalement à l’attention des lecteurs « novices ».

  • Le Secret et son partage - Notes & Bibliographie

    Divers • 01.07.2013

    "L’article 226-13 n’est pas applicable dans les cas où la loi impose ou autorise la révélation du secret. En outre, il n’est pas applicable : 1° À celui qui informe les autorités judiciaires, médicales ou administratives de privations ou de sévices, y compris lorsqu’il s’agit d’atteintes ou « mutilations » sexuelles, dont il a eu connaissance et qui ont été infligées à un mineur ou à une personne...