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Contrôle anti-dopage

Revue Experts numéro 54 | Paru le : 02.06.2014

Contestant les circonstances dans lesquelles avaient été prélevées et analysées ses urines, aussi bien sur le plan du fait que sur le plan du droit, MR G. footballeur, avait obtenu la nullité de ses analyses devant le Tribunal administratif de Versailles, puis la Cour d'appel administrative de Paris. Le Conseil d'Etat, aux termes d'un long et intéressant arrêt, annule l'arrêt de la Cour administrative de Paris du 21.3.2000 et le jugement antérieur du 2.7.1998 du Tribunal administratif de Versailles et condamne M. G. à payer 15.000 francs à la Fédération française de football. On ne peut qu'approuver une telle décision, au delà des arguties juridiques très complexes en ce domaine, ou bien il y a dopage, ou bien il n'y a pas dopage. Dès lors que l'analyse pratiquée par un laboratoire neutre et indépendant démontre qu'il y a dopage, la sanction (au demeurant clémente infligée par la Fédération Française de Football) doit être confirmée.

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